Biographie du Vénérable Aryadeva, dont voici un bref aperçu :
Défrayant la chronique, les sectes fleurissent et abondent ; leurs adeptes se font de plus en plus nombreux, cherchant leur appartenance à « quelque chose », se perdant souvent dans d’inextricables labyrinthes.
Au milieu de ces errements, l’Œuvre du Vénérable Aryadeva fait rupture. Elle offre la possibilité non pas de dépendre d’un organisme ou d’une structure aussi élevée soit-elle, mais de pouvoir redécouvrir par soi-même et en soi-même la véritable nature de l’être, en restituant la « symbologie » universelle, aujourd’hui perdue.
Mais qui est le Vénérable Aryadeva ? Né à Versailles le 17 février 1917, mort à Prénovel, dans le Jura, le 8 juin 1970, sa vie, riche en événements, nous est contée dans Le Porteur de Foudre. Au fil des pages, nous suivons son incomparable destin. À treize ans, il a la première intuition qui guidera ses pas dans la quête de l’Ultime. Il commença par étudier les textes sacrés des grandes religions, allant jusqu’à apprendre leurs langues véhiculaires dans le but de saisir leurs significations profondes. C’est ainsi qu’il se plongea dans les Veda en sanskrit, dans l’Ancien Testament en hébreu, le Coran en arabe, etc. Par la suite, pris dans les affres de la guerre et fait prisonnier, il poursuit sans relâche, derrière les barbelés, sa recherche de la « pièce manquante » que mentionnent les textes sacrés. Enfin, de retour en France, il trouve cette Clef qui ouvre toutes les portes. Il part pour l’Inde, est admis dans l’Ordre du Bouddha (le Saṅgha), sous le nom de Vénérable Aryadeva. Pendant quinze ans, sous la robe jaune, il accumule les « preuves », cherche des confirmations parmi les brahmanes, les Tibétains, les Mongols, les Chinois, etc. Puis il rentre en France, prépare la transmission de son Œuvre et quitte ce monde. C’est à la découverte de celle-ci que nous invite ce livre.